EN DIRECT – Missile tombé en Pologne: Zelensky dit ne pas savoir “avec certitude” ce qu’il s’est passé

“On aura très probablement un rapport de force avec les Ukrainiens” pour pouvoir ouvrir des négociations pour la paix, a déclaré Jean-Pierre Raffarin jeudi soir sur BFMTV.

L’ancien Premier ministre a estimé qu’il fallait – pour mettre fin à la guerre en Ukraine – à la fois “faire des pressions sur Poutine” mais “il faudra faire des pressions sur les Ukrainiens aussi”.

Jean-Pierre Raffarin a également loué l’attitude du président français: “Il faut parler avec l’ennemi pour avoir la paix […] J’approuve Macron quand il parle avec Poutine.” Selon lui, gagner une guerre, c’est “gagner les négociations”.

Le président ukrainien a déclaré ce jeudi soir que plus de 10 millions de ses compatriotes étaient privés d’électricité.

“À l’heure actuelle, plus de dix millions d’Ukrainiens sont sans électricité”, notamment dans la région de Kiev, a déclaré Volodymyr Zelensky lors de son adresse télévisée.

Plusieurs villes ukrainiennes, dont la capitale Kiev, ont été jeudi les cibles de frappes russes qui coïncident avec les premières chutes de neige dans un pays miné par les coupures d’électricité où les températures pourraient chuter jusqu’à -10°C.

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Le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a adopté jeudi une nouvelle résolution appelant la Russie à se retirer de la centrale ukrainienne de Zaporijjia et à stopper ses actions contre les sites nucléaires, selon des sources diplomatiques.

Dans ce texte, le Conseil des gouverneurs de l’AIEA “exprime sa vive préoccupation” devant le refus de la Russie de stopper ses attaques contre les installations nucléaires ukrainiennes.

Le texte, présenté par le Canada et la Finlande, a été approuvé par 24 des 35 Etats siégeant au Conseil, ont précisé deux diplomates. La Russie et la Chine ont voté contre.

Des experts ukrainiens sont arrivés en Pologne pour participer à l’enquête visant à déterminer d’où a été tiré le missile ayant tué deux personnes en Pologne, a déclaré jeudi le chef de la diplomatie ukrainienne.

“Nos experts sont déjà en Pologne”, a indiqué Dmytro Kouleba sur Twitter.

“Nous espérons qu’ils accéderont rapidement au site” de l’incident, “en coopération avec les forces de l’ordre polonaises”, a-t-il ajouté en précisant qu’il avait échangé avec Zbigniew Rau, son homologue polonais.

Un haut responsable ukrainien chargé des droits de l’Homme a fait état de l’étendue “horrible” de tortures à Kherson pendant l’occupation russe de cette ville de sud de l’Ukraine, reprise la semaine dernière par les forces de Kiev.

“Je n’ai pas encore vu” de tortures “à une telle échelle”, “après avoir visité toutes les salles de torture dans diverses régions de l’Ukraine”, a déclaré Dmytro Loubynets, chargé du Parlement des droits de l’Homme à la télévision nationale.

“L’étendue est simplement horrible”, a-t-il ajouté.

La Russie a dénoncé le verdict du tribunal néerlandais qui a condamné jeudi trois hommes – dont deux Russes – à perpétuité et acquitté un autre pour la destruction du vol MH17 de Malaysia Airlines au-dessus de l’Ukraine en 2014.

“Le déroulement et le résultat de la procédure judiciaire indiquent que (la décision) se base sur un ordre politique”, a réagi le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.

“Le procès aux Pays-Bas a toutes les chances de devenir l’un des plus scandaleux dans l’histoire des procédures judiciaires”, a-t-il ajouté.

En 2014, les 298 passagers et membres d’équipage avaient été tués lorsque l’avion reliant Amsterdam à Kuala Lumpur avait été touché au-dessus de l’est de l’Ukraine tenue par les séparatistes pro-russes, par ce que le parquet dit être un missile fourni par Moscou.

Le ministère ukrainien de la Défense a publié sur Twitter différents chiffres relatifs à l’invasion russe de l’Ukraine, qui a débuté le 24 février dernier.

Selon ce dernier, les Russes auraient perdu plus de 83.000 hommes, près de 3000 tanks, 261 hélicoptères ou encore 474 missiles de croisière.

Ces données, non vérifiées de manière indépendante, son à prendre avec précaution. Les chiffres des pertes humaines sont, selon les experts, sans doute surestimés.

Ce jeudi, le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a indiqué qu’il était “difficile d’imaginer” des négociations publiques avec les Ukrainiens, accusant Kiev de changer constamment sa position sur le sujet.

“Premièrement, ils négocient, ensuite, ils refusent de négocier, puis ils passent une loi qui interdit toute forme de négociations, ensuite ils disent qu’ils veulent des négociations, mais publiques”, a-t-il déclaré.

Puis d’ajouter: “ainsi, il est difficile d’imager des négociations publiques, cela n’existe pas… Une chose est sûre, les Ukrainiens ne veulent pas de négociations”.

Selon l’agence de presse Reuters, relayée par le Guardian, le gouvernement finlandais a proposé de débourser 139 millions d’euros pour construire une clôture le long de sa frontière avec la Russie.

Helsinki est actuellement candidat pour intégrer l’Otan, et possède une relation historiquement compliquée avec la Russie. Néanmoins, la frontière terrestre que les Finlandais partagent avec les Russes, longue de 1300km, n’est pas protégée.

La loi permettant de construire une clôture le long de la frontière a été adopté en juillet par le Parlement finlandais. L’objectif est notamment de faire face à des menaces hybrides en provenance de Moscou, comme l’envoie massif de demandeurs d’asile.

Le ministère des Affaires étrangères a condamné “avec la plus grande fermeté” ce jeudi la poursuite des frappes russes en Ukraine.

Alors que plus de 80 missiles de longue portée ont déjà été tirés sur des installations ukrainiennes mardi, Moscou a décidé d’en lancer une deuxième salve ce jeudi matin, tuant au moins cinq personnes et détruisant de nombreuses installations énergétiques.

“La France condamne avec la plus grande fermeté la poursuite des frappes russes contre de nombreuses villes ukrainiennes, dont Kiev. Ces frappes ont de nouveau visé délibérément des infrastructures civiles, affectant l’alimentation en électricité des foyers en Ukraine”, a écrit le Quai sur Twitter.

Le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a assuré jeudi que la Russie portait la “responsabilité ultime” pour la chute meurtrière d’un missile en Pologne, alors qu’une enquête doit déterminer d’où celui-ci a été tiré.

“Quelle que soit la conclusion de l’enquête, nous savons déjà la partie qui porte la responsabilité ultime pour cet incident tragique: la Russie”, a-t-il déclaré depuis Bangkok.

Le président de Naftogaz, la compagnie gazière ukrainienne, a indiqué que les frappes réalisées ce matin par la Russie avaient touché les infrastructures du producteur de gaz Ukrgazvydobuvannia, dans l’est de l’Ukraine.

“Actuellement, nous avons connaissance de plusieurs éléments qui ont été détruits. D’autres ont subi des dommages à des degrés différents”, a expliqué Oleksiy Chernyshov.

Le compte Twitter du président polonais Andrzej Duda a partagé une courte vidéo du chef d’État, dans le village de Przewodów.

C’est là que s’est écrasé mardi un missile, tuant deux personnes. Son origine reste pour l’instant inconnue, bien que de nombreux dirigeants de l’Otan ont évoqué la thèse d’un missile ukrainien issu du système de défense aérien du pays, ayant raté sa cible.

Les souffrances de civils en Ukraine, confrontés en plein hiver à des coupures d’électricité après les frappes russes sur les infrastructures énergétiques, sont la “conséquence” du refus de Kiev de négocier avec Moscou, a affirmé le Kremlin.

“C’est la conséquence du manque de la volonté de la partie ukrainienne de régler le problème, d’entamer des négociations, son refus de chercher un terrain d’entente”, a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré jeudi “ne pas savoir ce qu’il s’est passé” en Pologne où un missile est tombé mardi, tuant deux personnes, tout en affirmant que le projectile était “russe”.

“Je ne sais pas ce qu’il s’est passé. Nous ne savons pas avec certitude. Le monde ne le sait pas. Mais je suis sûr que c’était un missile russe, je suis sûr que nous avons tiré depuis des systèmes de défense aérienne”, a-t-il déclaré, cité dans un communiqué de la présidence ukrainienne.

“Mais il est impossible de parler de quelque chose de spécifique aujourd’hui – qu’il s’agissait de la défense aérienne de l’Ukraine”, ajoute-t-il.

Mercredi, à la la télévision, il avait maintenu qu’il ne s’agissait pas d’un missile ukrainien: “je crois que c’était un missile russe, conformément au rapport des militaires” ukrainiens, a-t-il déclaré, alors que les responsables de l’Otan ont estimé qu’il s’agissait probablement d’un missile du système ukrainien de défense anti-aérienne.

Le ministre ukrainien de la Santé, relayé par le ministère de la Défense, a indiqué avoir besoin de sang et de donneurs, “pour les défenseurs qui libèrent le pays des envahisseurs”.

“Nos soldats doivent se battre pour chaque mètre de terrain ukrainien. Et cela augmente le besoin en sang, nous devons créer un tel approvisionnement, pour que tous ceux qui en ont besoin le reçoivent immédiatement”, poursuit le communiqué publié sur le site du ministère.

Après la nouvelle salve de frappes massives qui se sont abattues ce jeudi sur l’Ukraine, le bilan humain s’élève désormais à cinq morts. Les victimes se trouvaient dans la ville de Vilniansk, près de Zaporijjia, et dans l’oblast de Kharkiv.

Concernant la région de Zaporijjia, l’information a été confirmée sur Telegram par Kyrylo Tymoshenko, chef de cabinet de la présidence ukrainienne.

Dans l’oblast de Kharkiv, une femme est morte dans la ville de Koupiansk, a indiqué le gouverneur régional.

La Russie a confirmé jeudi la reconduite “sans aucun changement” de l’accord sur les exportations de céréales ukrainiennes, après que la Turquie, l’ONU et l’Ukraine ont annoncé sa prolongation plus tôt jeudi.

“La partie russe autorise l’extension technique de ‘l’Initiative de la mer Noire’ sans aucun changement dans ses termes et sa portée”, a déclaré la diplomatie russe dans un communiqué.

Moscou s’était brièvement retiré fin octobre de l’accord, dénonçant l’utilisation du couloir humanitaire par Kiev “à des fins militaires”.

Dans un entretien accordé à Bloomberg dans le cadre du Bloomberg New Economy Forum, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a semblé modérer ses propos concernant l’origine du missile qui s’est écrasé mardi en Pologne, faisant deux morts.

“Je ne sais pas ce qu’il s’est passé cette fois, nous ne savons pas à 100%, je pense que le monde ne le sait pas non plus à 100%”, a-t-il estimé.

L’Otan penche pour un missile d’origine ukrainienne, rattaché au système de défense anti-aérien du pays. À contre-courant de Zelensky, qui assurait jusqu’alors que le missile avait été envoyé par les Russes.

Jakub Kumoch, le conseiller diplomatique du président polonais Andrzej Duda, a déclaré à la chaîne de télévision TVN 24 que la venue d’enquêteurs ukrainiens sur le site où s’est écrasé mardi un missile faisant deux morts était possible.

Des enquêteurs polonais et américains sont déjà sur place.

“Les Ukrainiens ont demandé à pouvoir accéder au site de l’enquête. Si les deux parties sont d’accord, et je sais qu’il n’y aura pas d’objection de la part des Américains, un tel accès pourrait être accordé bientôt”, a estimé Jakub Kumoch.

À contre-courant de l’Otan, Kiev maintient pour l’instant que le missile a été tiré par les Russes.

“Ni les Etats-Unis ni la Russie ne tenteront d’utiliser l’arme nucléaire”, a affirmé jeudi le président turc Recep Tayyip Erdogan après la réunion des patrons des renseignements de ces deux pays à Ankara.

“Selon les informations que j’ai reçues de la part de mon directeur du renseignement concernant les Etats-Unis et la Russie, aucune des deux parties ne sera tenté d’utiliser l’arme nucléaire” a déclaré Recep Tayyip Erdogan cité par l’agence officielle Anadolu.

La Russie a utilisé au moins sept types de mines antipersonnel à fragmentation et à effet de souffle depuis son invasion en Ukraine le 24 février, révèle le rapport 2022 de l’Observatoire des Mines rendu public jeudi.

C’est une “situation sans précédent, dans laquelle un pays qui n’est pas encore partie au traité utilise l’arme sur le territoire d’un Etat partie”, selon ce rapport qui mesure la mise en oeuvre de la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnel de 1997 (ou Traité d’Ottawa).

L’utilisation par la Russie – pays qui a le plus gros stock mondial de mines antipersonnel (26,5 millions) – de ce type d’armes en Ukraine a été fermement condamnée par divers pays.

Invité de BFMTV ce jeudi, Vadym Omelchenko, ambassadeur d’Ukraine en France, a demandé à ce que Kiev puisse avoir accès au village polonais où s’est écrasé mardi un missile, faisant deux morts.

L’Otan penche pour l’instant pour la thèse d’un missile en provenance de la défense anti-aérienne ukrainienne. Une thèse réfutée par Volodymyr Zelensky, qui estime que le tir a été effectué par les Russes.

“L’enquête continue, et une de nos exigences est de pouvoir donner accès à nos experts en Pologne sur les lieux des faits. Pour le moment ce n’est pas le cas, mais nous allons insister pour que nos militaires puissent constater aussi les restes de missiles et faire leurs conclusions. L’enquête continue et j’aimerais souligner que l’Ukraine est ouverte”, a déclaré le diplomate sur notre antenne.

La Russie est “entièrement responsable” de la chute d’un missile en Pologne, qui a tué mardi deux personnes, a affirmé jeudi le chef de la diplomatie ukrainienne, Dmytro Kouleba, à la suite d’un entretien téléphonique avec son homologue américain Antony Blinken.

“Nous partageons le point de vue selon lequel la Russie porte l’entière responsabilité de sa terreur par missiles et de ses conséquences sur le territoire de l’Ukraine, de la Pologne et de la Moldavie”, a indiqué le ministre ukrainien sur Twitter.

Ce jeudi, de nombreuses villes ukrainiennes ont été frappées par de nouvelles frappes russes, 48 heures seulement après l’opération massive menée par Moscou qui a ciblé de nombreuses installations énergétiques.

À Dnipro (centre-est), huit personnes dont un adolescent de 15 ans ont été blessées dans un bombardement, a indiqué le maire Borys Filatov, sur Facebook. Deux “infrastructures” ont été touchées dans cette ville, selon la présidence, sans préciser lesquelles.

Tout proche de Kiev, deux missiles de croisière et des drones kamikazes ont été abattus par la défense ukrainienne, a indiqué l’administration militaire de la ville. Un journaliste de l’AFP a vu un de ces missiles survoler un quartier résidentiel dans l’est de la capitale.

Dans la région d’Odessa (sud), les Russes ont frappé un site d’infrastructure blessant trois personnes, a indiqué l’administration régionale.

L’agence Reuters, se basant sur les déclarations de responsables locaux, indique que deux personnes sont mortes à Zaporijjia, dans l’Est de l’Ukraine.

Ces deux victimes ont été touchées par une attaque de missile, qui s’est déroulée dans la nuit de mercredi à jeudi.

Mardi, Moscou a tiré plus de 80 missiles de longue portée sur différentes installations énergétiques ukrainiennes. Pour le service de renseignement du ministère britannique de la Défense, il s’agit de la plus importante opération menée en une seule journée depuis la première semaine de guerre.

“Les munitions ont été tirées depuis l’air, la mer et des bases terrestres. Bien qu’une part importante des tirs a été interceptée, l’Ukraine perd progressivement ses capacités énergétiques. Cela va impacter l’accès des civils aux moyens de télécommunications, au chauffage et à l’eau”, détaille le communiqué partagé par Londres sur Twitter.

“De telles frappes continues et à cette échelle viennent creuser les réserves russes de missiles de croisière conventionnelle. Endommager les infrastructures nationales ukrainiennes est devenu l’approche stratégique de la Russie”, poursuivent les Britanniques.

Le Secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a “salué” jeudi la reconduite de l’accord sur les céréales ukrainiennes en Mer Noire.

Dans un communiqué transmis à l’AFP par le Centre de coordination conjointe (JCC) qui supervise les exportations, basé à Istanbul, Antonio Guterres affirme que “l’Onu est pleinement engagée à lever les obstacles qui entravent les exportations de produits agricoles et engrais de la Fédération de Russie”.

Un léger manteau neigeux recouvrait jeudi matin Kiev, la capitale de l’Ukraine, alors que le pays subit d’importantes coupures d’électricité après de lourdes frappes russes sur les infrastructures énergétiques, a constaté l’AFP.

La neige recouvrait notamment les voitures stationnées dans les rues de la capitale où de nombreux quartiers étaient privés de courant dans la matinée. Le gouverneur régional, Oleksiï Kouleba, a prévenu mercredi que la semaine à venir serait “difficile”, avec des températures qui pourront descendre “jusqu’à -10°C”.

Kiev a annoncé ce jeudi que l’Ukraine était touchée par une nouvelle vague massive de frappes russes, deux jours seulement après que plus de 80 missiles russes aient été tirés sur différentes infrastructures énergétiques ukrainiennes.

À Dnipro (centre-est), deux sites d’infrastructure ont été touchés et une personne a été blessée, a indiqué la présidence. A Kiev, deux missiles de croisière ont été abattus par la défense ukrainienne alors que près d’Odessa (sud), des infrastructures ont été touchées, selon les autorités régionales respectives.

Comme l’ont rapporté les médias Nexta et Kyiv Independent, des explosions ont été entendues en Crimée, région ukrainienne annexée par la Russie en 2014. Elles ont eu lieu dans la ville de Dzhankoi.

Selon Nexta, un aérodrome russe a été touché.

Sur Twitter ce jeudi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a indiqué que l’accord céréalier était prolongé de 120 jours.

Une déclaration confirmée par la Turquie, qui a indiqué que la reconduite de l’accord sur les exportations de céréales ukrainiennes allait se faire “selon les mêmes conditions” que celles observées depuis le mois de juillet, a annoncé un haut responsable sous couvert d’anonymat.

L’initiative sur les céréales en mer Noire qui expire vendredi soir a permis de sortir plus de 11 millions de tonnes des ports ukrainiens en quatre mois.

Volodymyr Zelensky a-t-il perdu une “occasion de se taire”, comme l’a estimé dans une interview à Franceinfo le général Michel Yakovleff, officier général de l’armée de terre française?

À contre-courant des Européens et de Washington, qui indiquent que le missile qui s’est écrasé en Pologne mardi provenait vraisemblablement de la défense anti-aérienne ukrainienne, Volodymyr Zelensky a maintenu mercredi dans la soirée qu’il avait été tiré par Moscou.

Le gouvernement hongrois a indiqué que le président ukrainien donnait “un mauvais exemple”.

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