đȘtout ce que vous devez savoir sur cette technologie
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tout ce que vous devez savoir sur cette technologie

ImaginĂ©e dĂšs 1991 par deux mathĂ©maticiens, la blockchain est restĂ©e dans lâombre jusquâau milieu des annĂ©es 2000 et lâavĂšnement du bitcoin. Mais son champ dâapplication ne se rĂ©sume pas aux seules crypto-monnaies. On vous explique tout sur cette technologie considĂ©rĂ©e par beaucoup dâexperts comme la plus grande innovation depuis lâarrivĂ©e dâInternet.Â
La blockchain, dĂ©finitionÂ
La blockchain, ou chaĂźne de blocs, est une technologie de stockage et de transmission de lâinformation. Câest une base de donnĂ©es virtuelle dans laquelle sont inscrits par ordre chronologique tous les Ă©vĂ©nements survenus depuis sa crĂ©ation.Â
Imaginez la blockchain comme un livre de comptes partagĂ© par toute une communautĂ©. Chaque membre possĂšde une copie identique Ă celle des autres. Chaque fois quâun fait a lieu, il est inscrit dans lâhistorique par lâensemble du groupe.Â
Tout se passe en ligne. Les transactions sont communiquĂ©es Ă un rĂ©seau dâordinateurs, appelĂ© nĆud (node) de stockage. Chaque nĆud dĂ©tient une version Ă jour de la base de donnĂ©es. Les opĂ©rations y sont inscrites grĂące au langage cryptographique utilisĂ© par la blockchain. Une fois que le bloc est complet, il est scellĂ© et ajoutĂ© aux prĂ©cĂ©dents, formant la fameuse chaĂźne de blocs. Comme ce registre est tenu par plusieurs opĂ©rateurs Ă la fois, on parle de registre distribuĂ©.Â
SĂ©curisĂ©e et transparente, la blockchain a permis le dĂ©veloppement des crypto-monnaies, comme le bitcoin (BTC) qui repose sur la blockchain Bitcoin ou lâEther (ETH) qui fonctionne avec la blockchain Ethereum. Mais son utilisation ne se limite pas aux seules monnaies virtuelles. Elle est Ă©galement utilisĂ©e dans le domaine de la banque, de la finance, de lâassurance, de la santĂ© ainsi que de lâagroalimentaireâŠÂ
Haber et Stornetta, les pionniers de la blockchain
La blockchain est nĂ©e bien avant les cryptomonnaies. En 1991, deux scientifiques amĂ©ricains experts en cryptographie, Stuart Haber et W. Scott Stornetta cherchent un moyen de dater, dâordonner et dâenregistrer automatiquement des fichiers numĂ©riques. Ils publient les rĂ©sultats de leurs travaux dans une Ă©tude intitulĂ©e «âComment horodater un document numĂ©rique ?â».Â
Satoshi Nakamoto sâest inspirĂ© de leur ouvrage pour mettre au point le Bitcoin. Lorsquâil envoie, en octobre 2008, un mail Ă ses contacts pour partager son projet de monnaie, il ne prononce pas encore le mot de blockchain. Reprenant lâexpression de Haber et Stornetta, il parle de serveur dâhorodatage. Câest Hal Finley qui emploie pour la premiĂšre fois le terme de âblock chainâ (en deux mots) au cours dâune discussion en novembre 2008. Il se sert de lâexpression pour dĂ©signer le registre distribuĂ©. Lui et le mystĂ©rieux Satoshi Nakamoto travaillent ensuite Ă dĂ©velopper la premiĂšre mouture du protocole Bitcoin.Â
Aujourdâhui, la recherche et les progrĂšs de la blockchain se poursuivent. GrĂące aux apports de la cryptographie, de lâinformatique et des sciences Ă©conomiques, de nouveaux protocoles voient le jour et les usages se multiplient.Â
Le fonctionnement de la chaĂźne de blocs
Pour comprendre comment fonctionne une blockchain, prenons lâexemple du bitcoin. Lorsquâune transaction a lieu, par exemple quand A envoie Ă B un bitcoin, elle doit ĂȘtre inscrite dans la blockchain. Les ordinateurs du rĂ©seau enregistrent, dans leur exemplaire de la base de donnĂ©es, lâĂ©vĂšnement et ses caractĂ©ristiques comme :
- lâidentification de lâĂ©metteur et du receveurâ;
- la date et heure de lâĂ©changeâ;Â
- la valeur de la transactionâ;
Pour sceller le bloc, on utilise une clĂ© cryptographique. Ă lâaide de leur ordinateur, les mineurs, les membres de la communautĂ© qui valident les blocs, rĂ©solvent un problĂšme mathĂ©matique cryptographique complexe. On appelle cela le minage. Ils doivent transformer les informations contenues dans le bloc en un code qui correspond au protocole Ă©tabli. Ce code, que lâon appelle empreinte ou hash, est ensuite vĂ©rifiĂ© par lâensemble du groupe. AprĂšs avoir Ă©tĂ© validĂ©, le hash du bloc est insĂ©rĂ© dans le nouveau bloc. Il garantit la continuitĂ© de la chaĂźne et lâauthenticitĂ© des renseignements. Si un seul des Ă©lĂ©ments du bloc est modifiĂ©, alors lâempreinte nâest plus valide.Â
Le hash reprĂ©sente pour le mineur la Preuve de son travail (Proof of Work ou PoW). Le premier Ă trouver la bonne empreinte reçoit des bitcoins en rĂ©compense de la mise Ă disposition de sa puissance de calcul. Pour le bitcoin, la gratification est attribuĂ©e au premier Ă avoir dĂ©couvert le hash. Dâautres blockchains prĂ©fĂšrent privilĂ©gier la Preuve dâenjeu (Proof of Stake ou PoS). La personne qui emporte la rĂ©compense est choisie en fonction de divers critĂšres comme la quantitĂ© de crypto-monnaies dĂ©tenue, lâanciennetĂ© de la participation ou le hasard. La blockchain Ethereum, qui a recours Ă la PoW, a prĂ©vu de passer Ă la PoS afin dâattribuer les rĂ©compenses de façon alĂ©atoire avec sa mise Ă jour : Ethereum 2.0.
Au fil du temps, les Ă©nigmes Ă rĂ©soudre pour trouver lâempreinte sont devenues de plus en plus complexes et demandent une puissance de calcul de plus en plus importante. Dans le mĂȘme temps, le nombre de mineurs a augmentĂ©. Ătre le premier Ă obtenir le hash est donc bien plus compliquĂ© aujourdâhui quâau lancement du bitcoin. Mais le montant de la prime ne cesse de dĂ©croĂźtre. En 2009, le minage dâun bloc rapportait 50 BTC. En 2022, lâopĂ©ration ne rapportait plus que 6,25 BTC.Â
En 2140, pour la crĂ©ation du dernier bitcoin, la rĂ©compense ne sera que de 0,000â000â01 BTCâ! Cette baisse est censĂ©e ĂȘtre compensĂ©e par la hausse du cours de la cryptomonnaie. Les 50 BTC de 2009 valaient 0,05 dollar. En juin 2022, 6,25 BTC Ă©quivalent Ă plus de 125â000 dollarsâ!

Un réseau décentralisé et pseudonyme
Chaque blockchain a ses propres spĂ©cificitĂ©s. Le contenu des blocs, lâempreinte ou le protocole de validation diffĂšrent dâun registre distribuĂ© Ă lâautre. Mais toutes les chaĂźnes de blocs reposent sur les mĂȘmes principes.Â
Ce sont des rĂ©seaux de pair-Ă -pair (peer to peer ou P2P). Les nĆuds (nodes) sont interconnectĂ©s et chacun contribue Ă lâĂ©criture et Ă la sauvegarde des donnĂ©es. Chacun dĂ©tient une copie de lâhistorique des transactions. Tout a lieu en temps quasi rĂ©el. Les opĂ©rations sont inscrites puis validĂ©es en quelques secondes grĂące Ă la puissance de calcul des ordinateurs et au nombre de collaborateurs. En effet, la plupart des logiciels rĂ©gissant les blockchains Ă©tant open source, nâimporte qui peut, en thĂ©orie, participer.
Lâinnovation de la blockchain rĂ©side dans sa dĂ©centralisation. Il nây a pas dâautoritĂ© centrale pour rĂ©guler ou contrĂŽler les Ă©changes. Tous les nĆuds jouent le rĂŽle dâun tiers de confiance. Lorsque vous commandez un virement bancaire depuis le site de votre banque, câest elle qui se charge de vĂ©rifier que vous possĂ©dez les fonds, de les transfĂ©rer et de noter le dĂ©bit sur votre compte et le crĂ©dit sur celui du destinataire. Dans une blockchain, ce rĂŽle est dĂ©volu Ă lâensemble des nĆuds.Â
Enfin, les blockchains reposent sur un systĂšme dâidentification pseudonyme des personnes. Elles ne sont pas appelĂ©es par leur nom, mais ne sont pas anonymes pour autant. Chacune est identifiĂ©e par une adresse, appelĂ©e clĂ© publique, que les autres utilisateurs peuvent consulter. Elle est gĂ©nĂ©rĂ©e par lâinitiateur de lâopĂ©ration grĂące Ă une clĂ© privĂ©e, qui demeure strictement confidentielle. La clĂ© privĂ©e est un ensemble de chiffres, de lettres et de signes. Pour faciliter sa mĂ©morisation, elle est prĂ©sentĂ©e sous la forme dâune seed phrase : une liste de 12,18 ou 24 mots qui forment la clĂ© de chiffrement.Â
Le passage de la clĂ© privĂ©e Ă lâadresse se fait grĂące Ă des calculs cryptographiques Ă sens unique. Il est impossible de trouver la clĂ© privĂ©e associĂ©e Ă une adresse. En revanche, depuis la clĂ© privĂ©e, vous pouvez retrouver lâadresse. En plus de lâadresse, la transaction est validĂ©e par une signature Ă©lectronique (ou hash). GĂ©nĂ©rĂ©e Ă partir de la clĂ© privĂ©e, elle est Ă usage unique et ne peut pas servir Ă nouveau.Â
Les quatre types de blockchain
On distingue quatre types de blockchain :
- la blockchain publiqueâ;
- la blockchain privĂ©eâ;
- la blockchain hybrideâ;
- la blockchain de consortium.Â
La blockchain publique est celle utilisĂ©e par Bitcoin et les autres crypto-monnaies. Lâensemble des donnĂ©es est public et le logiciel open source. Tout le monde peut parcourir le registre et nâimporte qui, pourvu quâil soit dotĂ© dâun ordinateur et dâune connexion Internet peut devenir un mineur. Dans cette blockchain, les nĆuds ont tous autant de valeur, ils peuvent tous inscrire des transactions et les valider.
La blockchain privĂ©e emploie le systĂšme des blocs. Mais elle ne concerne quâun nombre restreint dâutilisateurs, approuvĂ©s au prĂ©alable par un gestionnaire. Dans une blockchain privĂ©e, les nĆuds nâont pas tous la mĂȘme valeur. Un tiers de confiance, dĂ©signĂ© en amont, contrĂŽle le rĂ©seau. Il vĂ©rifie et entĂ©rine les informations saisies. Ces configurations sont privilĂ©giĂ©es par des sociĂ©tĂ©s ou des groupes dâentreprises qui souhaitent travailler ensemble tout en conservant un degrĂ© de confidentialitĂ© Ă©levĂ©.Â
La blockchain hybride emprunte Ă la blockchain publique et Ă la blockchain privĂ©e. On qualifie de blockchain hybride une blockchain qui appartient Ă une entitĂ© (une banque, une entreprise) diffĂ©rente de celle qui peut la modifier. Un autre exemple de blockchain hybride consiste Ă sĂ©lectionner les nĆuds ayant accĂšs au registre, mais Ă tous les autoriser Ă prendre part Ă son Ă©criture.Â
La blockchain de consortium est elle aussi un mĂ©lange de blockchains publiques et de blockchains privĂ©es. Dans ce dispositif, la blockchain est ouverte Ă un nombre restreint dâutilisateurs. Mais, si dans une blockchain privĂ©e un seul participant valide les transactions, ce nâest pas le cas dans une blockchain Ă consortium. Plusieurs nĆuds ont des pouvoirs Ă©quivalents et peuvent sceller les blocs. Ce systĂšme est souvent utilisĂ© par les banques afin de garantir la fiabilitĂ© et le secret des Ă©changes.Â
Transparence, sécurité et efficacité : les avantages de la blockchain
La transparence constitue lâune des valeurs fondamentales de la blockchain. Lorsquâelle est publique, les datas sont ouvertes Ă tous et nâimporte qui peut les lire, pour retrouver, par exemple, le montant ou la date dâun Ă©change. En pratique, câest un peu plus compliquĂ©. Le contenu des blocs est cryptĂ© et vous devez passer par un explorateur de blocs pour le consulter. Mais, afin de favoriser lâaccĂšs aux donnĂ©es, la plupart des logiciels sont open source et peuvent ĂȘtre tĂ©lĂ©chargĂ©s gratuitement.Â
La blockchain offre Ă©galement un haut niveau de sĂ©curitĂ©. Une fois que les informations sont inscrites sur un bloc et quâil est ajoutĂ© aux autres, elles ne peuvent plus ĂȘtre modifiĂ©es. En effet, lâensemble des nĆuds disposent dâune copie vĂ©rifiĂ©e. Si un bloc est diffĂ©rent de celui de lâensemble de la blockchain, il doit ĂȘtre remplacĂ© par une version valide. Pour rĂ©viser un Ă©lĂ©ment a posteriori, vous devez dĂ©tenir plus de la moitiĂ© du rĂ©seau (51 %) et effectuer la mĂȘme modification sur les diffĂ©rentes rĂ©pliques du bloc concernĂ©. Mais cette option, connue sous le nom dâattaque des 51 %, est peu probable compte tenu du nombre de nĆuds et donc dâexemplaires du registre. Par exemple, Bitcoin comporte plus de 10â000 nĆudsâ!Â
La sĂ©curitĂ© de la blockchain repose en grande partie sur sa dĂ©centralisation. GrĂące Ă elle, il est impossible de falsifier le rĂ©seau et lâabsence de serveur central garantit la pĂ©rennitĂ© du systĂšme. Si lâun des nĆuds est dĂ©faillant, les autres continuent tout de mĂȘme de fonctionner. Il suffit dâun seul nĆud actif pour que la blockchain perdure. Dâun point de vue plus philosophique, la dĂ©centralisation donne lâopportunitĂ© dâenvisager un autre mode dâĂ©change de valeurs, sans autoritĂ© centrale : la finance dĂ©centralisĂ©e (DeFi). Lorsque Satoshi Nakamoto dĂ©voile son projet de monnaie numĂ©rique, nous sommes en pleine crise financiĂšre des Subprimes. Avec le bitcoin, il souhaite rendre aux citoyens le contrĂŽle sur leur argent, sans dĂ©pendre des banques ou des Ătats.Â
Dans une blockchain, les transactions sont instantanĂ©es ou presque. Les nĆuds travaillent en permanence Ă Ă©crire, authentifier et sauvegarder les blocs. Le temps de confirmation varie selon la capacitĂ© du rĂ©seau et le protocole de la blockchain. Si vous envoyez des unitĂ©s dâEther, le temps de confirmation est en moyenne de 15 secondes. Beaucoup plus rapide quâun virement SEPA classique qui prend jusquâĂ 48 heuresâŠ
En plus de faire gagner de prĂ©cieuses minutes, la blockchain permet de faire des Ă©conomies. Lâautomatisation des tĂąches et le peu dâintermĂ©diaires rĂ©duisent le nombre dâacteurs Ă payer. Les seules personnes Ă rĂ©munĂ©rer sont les mineurs, qui touchent une rĂ©compense pour leur contribution Ă lâĂ©criture des blocs.Â
Des usages de plus en plus nombreuxÂ
Impossible de parler de blockchain sans parler des monnaies virtuelles. Elles sont les premiĂšres Ă la mettre en pratique Ă grande Ă©chelle. Le Bitcoin, lâEther, le Dogecoin ou encore le Polkadot⊠Tous les Ă©changes sont enregistrĂ©s et archivĂ©s sur une blockchain. Elles ont contribuĂ© Ă amĂ©liorer le systĂšme et Ă rĂ©soudre les problĂšmes rencontrĂ©s.
DĂ©sormais, les cryptomonnaies ne sont plus les seules Ă recourir Ă la technologie de la blockchain. Le secteur bancaire sây est rapidement converti pour enregistrer et certifier les transactions, dans un cadre privĂ©. Mais lâutilisation de la blockchain ne se cantonne pas Ă la finance, la santĂ©, lâĂ©nergie, lâagroalimentaire ou le divertissement⊠Les blocs sont dorĂ©navant partout.Â
Si vous avez achetĂ© du linge de lit, des Ćufs ou des fruits dans la grande distribution, vous avez peut-ĂȘtre dĂ©jĂ utilisĂ© la blockchain sans le savoir. Carrefour a apposĂ© sur plus dâune centaine de produits un QR code. En le scannant, vous avez accĂšs au cycle de vie de votre kilo dâorange : nom du producteur, adresse du champ, date de la rĂ©colte, rĂ©sultats dâanalyse⊠Toutes les informations auxquelles vous accĂ©dez sont stockĂ©es dans une chaĂźne de blocs. Dâautres secteurs dâactivitĂ© comme lâindustrie pharmaceutique et le luxe sâintĂ©ressent Ă la capacitĂ© de la blockchain Ă conserver lâhistorique des Ă©vĂšnements.
Lâassurance sâempare de la blockchain pour automatiser lâindemnisation de ses clients. Elle sâappuie pour cela sur les smart contracts (contrats intelligents). Ces programmes informatiques, qui vont du plus simple au plus complexe, dĂ©finissent les conditions qui engendrent un Ă©vĂšnement. Les critĂšres dâindemnisation, le montant de la compensation et tous les autres paramĂštres sont gĂ©rĂ©s sur la blockchain. Les demandes sont traitĂ©es automatiquement, sans intervention humaine.
Enfin, la blockchain sâinvite dans le monde de lâart. En fĂ©vrier 2021, lâartiste Beeple a vendu via la maison dâenchĂšres Christieâs une Ćuvre digitale pour un prix de 58 millions dâeuros. La blockchain a permis dâattester du caractĂšre unique et authentique du tableau. Beaucoup moins cher, mais sur le mĂȘme principe, vous pouvez acquĂ©rir des NFT (non fongible token ou jeton non fongible). Ces objets virtuels (image, vidĂ©o, GIFâŠ) sont pourvus dâune identitĂ© numĂ©rique, inscrite dans la blockchain. Elle joue le rĂŽle dâun certificat dâauthenticitĂ© et de titre de propriĂ©tĂ©. Si lâobjet est dupliquĂ©, son identitĂ© reste unique.Â
Ce concept de la propriĂ©tĂ© rĂ©elle dâun objet virtuel sâapplique maintenant dans les jeux vidĂ©o. Dans un jeu vidĂ©o traditionnel, les Ă©lĂ©ments (lâĂ©pĂ©e de Link dans Zelda, les outils dans Fortnite, le mobilier de votre maison dans Animal CrossingâŠ) appartiennent au jeu. Avec la blockchain, vous devenez le propriĂ©taire de certains articles. Vous pouvez les utiliser mais aussi les Ă©changer contre des cryptomonnaies et ainsi gagner de lâargent. Cette nouvelle fonctionnalitĂ© incite les joueurs Ă crĂ©er de la valeur et Ă contribuer au dĂ©veloppement du jeu. Dans Sandbox, chacun achĂšte un terrain et lâagrĂ©mente selon ses goĂ»ts. Les membres de la communautĂ© mettent en circulation leurs propres NFT. Ils peuvent ensuite les utiliser, les offrir ou les revendre Ă dâautres participants.Â
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